Charte Associative de l’AFVAC

Depuis sa création en 1958, l’AFVAC a toujours contribué aux évolutions de la profession vétérinaire et a travaillé sur de nombreux dossiers avec les autres organisations professionnelles.

Aujourd’hui, elle souhaite réaffirmer sa spécificité fondée sur son modèle associatif : l’AFVAC est une association loi 1901, sans but lucratif, animée par des vétérinaires bénévoles, pour une  formation continue innovante, engagée et le développement des compétences des équipes soignantes.

C'est pourquoi l'AFVAC a élaboré sa nouvelle Charte Associative de l’AFVAC.

Cette Charte Associative a pour objectif de définir les principes qui fédèrent ses adhérent(e)s. Ces principes sont rassemblés sous trois items qui guident ses projets :

« L’indépendance - L’excellence pédagogique - La confraternité et convivialité ».

Voir la charte associative.

Après quoi court l'AFVAC ?

soirée dermatologie

Publié le :

Auteur : Stephanie Lauffenburger

Catherine actualisera nos connaissance sur les dermatoses éosinophiliques, pathologies dermatologiques de loin les plus fréquentes chez le chat. Comme elle l’explique elle-même : " les présentations cliniques sont multiples et évoluent sous forme de « patrons réactionnels » plus ou moins stéréotypés qui ne préjugent pas de l’étiologie finale. Savoir les reconnaître et distinguer leurs subtiles différences est une étape majeure vers le diagnostic de la cause sous-jacente. Il faudra souvent avoir recours à des examens complémentaires afin de préciser la nature éosinophilique de l’infiltrat cutané et identifier sa cause. La gestion thérapeutique est dictée par l’identification précise ou non de  cette étiologie". Elle abordera les sujets suivants : de la dermatite miliaire à l’herpès virose cutanée en passant par le complexe granulome éosinophilique, de l’apparente simplicité du traitement de la DAPP chez le chat à la gestion complexe d’un syndrome hyperéosinophilique.Catherine actualisera nos connaissance sur les dermatoses éosinophiliques, pathologies dermatologiques de loin les plus fréquentes chez le chat. Comme elle l’explique elle-même : " les présentations cliniques sont multiples et évoluent sous forme de « patrons réactionnels » plus ou moins stéréotypés qui ne préjugent pas de l’étiologie finale. Savoir les reconnaître et distinguer leurs subtiles différences est une étape majeure vers le diagnostic de la cause sous-jacente. Il faudra souvent avoir recours à des examens complémentaires afin de préciser la nature éosinophilique de l’infiltrat cutané et identifier sa cause. La gestion thérapeutique est dictée par l’identification précise ou non de  cette étiologie". Elle abordera les sujets suivants : de la dermatite miliaire à l’herpès virose cutanée en passant par le complexe granulome éosinophilique, de l’apparente simplicité du traitement de la DAPP chez le chat à la gestion complexe d’un syndrome hyperéosinophilique.

23 janvier 2019Poitou-Charentes2019-01-23soirée dermatologie

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